Des victimes d’actes criminels pourraient tout perdre dans moins de trois mois

 

Précipice, aberration, détresse psychologique et financière… À l’approche du 14 octobre, l’exaspération gagne de nombreuses victimes d’actes criminels, dont les prestations de remplacement du revenu prendront fin en raison de la réforme du gouvernement caquiste. Le reportage de Gabrielle Proulx.

Le téléjournal Québec