La mère de Jenique Dalcourt appelle à l’aide
[vc_row][vc_column][vc_video ratio=”16-9″ link=”https://youtu.be/RJ7X5_jqhdE”][vc_column_text] Depuis la mort tragique de sa fille Jenique, battue à mort sur une piste cyclable du Vieux-Longueuil en octobre dernier,Monique Dalcourt vit un véritable cauchemar et souhaite être reconnue comme une victime d’acte criminel afin de bénéficier des soins dont elle a besoin pour surmonter cette épreuve. «Des fois, je fais des cauchemars. Je peux me réveiller deux ou trois fois la nuit», confie la mère de la jeune femme assassinée pour une raison toujours inconnue à ce jour. Selon elle, «seulement un parent peut savoir tout l’enfer» qu’elle doit traverser.
Des images inoubliables
Depuis la nuit du 22 octobre, Monique Dalcourt n’est plus la même. Elle est médicamentée et a déjà rencontré sa psychologue à 15 occasions, à raison d’une fois par semaine. Mais dans trois mois, elle n’aura plus le soutien financier de l’IVAC. Mme Dalcourt estime qu’elle a déjà une importante bataille à livrer pour accepter la situation et souhaite ne pas avoir à se battre «pour avoir ce qui lui est dû». Le lendemain du drame, Mme Dalcourt s’est rendue sur les lieux du meurtre de sa fille et a vu à de nombreuses reprises, sur Internet et à la télévision, les images de sa Jenique, agonisante. «Quand j’entends une ambulance, ça me fait tout de suite penser à elle. J’espère toujours qu’elle n’aura pas senti le plus gros du mal», souffle-t-elle, ajoutant «mais je sais qu’elle a souffert quand même».