Bellemare avocats et ses vidéos éducatives CNESST, SAAQ et IVAC. Soyez mieux informés et évitez les pièges.
Représentation des victimes devant le tribunal
Notre qualité inégalée
Marc Bellemare avocat est spécialisé dans le domaine des accidents de la route (SAAQ), des accidents du travail (CNESST) et des victimes d'actes criminels (IVAC) depuis plus de 40 ans. Nous avons une formule unique qui maximise vos chances de gagner devant le tribunal administratif du Québec ou du travail.
Notre tarification adaptée
Marc Bellemare et son équipe d’avocats prennent en charge votre dossier de réclamation CNESST, SAAQ ou IVAC avec une tarification , à pourcentage ou à forfait, ainsi qu’une formule unique vous permettant de maximiser vos indemnités. La prise en charge du dossier inclut la contestation des décisions et votre représentation devant le tribunal. Profitez de l'équipe de l’avocat Marc Bellemare.
Des victoires de victimes comme vous
Une femme remporte sa bataille contre la CSST après cinq ans
«Je n’ai jamais vu ça en 35 ans de pratique une évidence pareille», dénonce Marc Bellemare. «La conclusion de la Cour d’appel est assez exceptionnelle»
Il se bat contre la SAAQ pour obtenir une compensation financière adéquate
Un résident de la Matapédia se bat depuis des mois contre la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) pour obtenir une compensation financière équitable.
Acceptée comme victime d’acte criminel par l’IVAC
La direction de l’Indemnisation des victimes d’actes criminels (IVAC) considère maintenant Marie-Renée Baillargeon comme une victime, même si, au sens de la loi, son agresseur présumé n’a jamais été accusé.
Une équipe d'avocats expérimentés
Nous travaillons sans relâche pour défendre vos droits
Actualités
Reconnue victime par l’IVAC 47 ans plus tard
«Les abus ont commencé à l’âge de quatre ans, ça veut dire que c’est à cinq ans qu’elle devait faire les réclamations. Si elle est mineure, elle peut toujours dire qu’elle ne comprenait pas, mais dès qu’elle commençait à prendre conscience qu’elle a été abusée, le délai d’un an commençait à courir. Alors, dans son cas, on lui a reproché, il y a une quinzaine d’années de ne pas avoir réclamé dans l’année qui a suivi l’inceste, ce qui est complètement ridicule,» souligne son avocat, Me Marc Bellemare.